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Tourisme et Randonnée en Lozère

Archives
18 septembre 2009

INTRODUCTION

La Lozère

.

A titre exceptionnel, ceci est la reproduction d'un article extrait de « Wikipédia », l'encyclopédie libre en ligne. En conséquence, l’éventuelle inexactitude des renseignements portés plus bas ne sauraient en aucun cas engager la responsabilité de l’auteur de ce blog.

 

                                                           
 

Lozère

 
 

Drapeau fr département Lozère.svg

 

545px_Blason_d_partement_fr_Loz_re

 
 

Localisation de la Lozère en France

 
507px_Loz_re_Position
 

Administration

 
  507px_ArrondissementsDeLozere


  Lozere_situationregionale_copie_copie
 











Région Languedoc-Roussillon

 
 

Préfecture

 
 

Blason Mende.svgMende

 
 

Préfet de département

 
 

Dominique   Lacroix

 
 

Président du
  conseil général

 
 

Jean-Paul Pourquier

 
 

Sous-préfecture(s)

 
 

Blason-Florac.svgFlorac

 
 

Statistiques

 
 

Population totale

  76   800[1] hab. (2006)
 

 

 
 

Densité

  15   hab./km2
 


 

 
 

Superficie

5 167   km2
 


 

 
 

Subdivisions

 
 

Arrondissements

 
 

2

 
 

Cantons

 
 

25

 
 

Intercommunalités

 
 

21

 
 

Communes

 
 

185

 

Le département de la Lozère est un département français qui doit son nom au massif du mont Lozère (Losera en occitan). L'Insee et la Poste lui attribuent le code 48.

Histoire

Article détaillé : Histoire de la Lozère.

La Lozère est l'un des 83 départements français créés lors de la Révolution française, le 4 mars 1790 en application de la loi du 22 décembre 1789. Il correspond presque exactement (le canton de Saugues en moins) à l'ancien évêché du Gévaudan, qui était une partie de l'ancienne province du Languedoc.

Héraldique

   
 

Lozère

 
 

Le blasonnement   de la Lozère est celui du Gévaudan soit : Parti, au premier de France ancien   (d'azur semé de fleurs de lis d'or) et au second d'or à quatre pals de   gueules.

 

Politique

 

Les 2 arrondissements de la Lozère

Article détaillé : Politique de la Lozère

Géographie

Administratif

Situation régionale de la Lozère

Le département de la Lozère est le département le plus au nord de la région Languedoc-Roussillon.

Il se situe au carrefour de 4 régions administratives : Languedoc-Roussillon, Rhône-Alpes, Auvergne et Midi-Pyrénées.

Il est limitrophe des départements du Cantal, de la Haute-Loire, de l'Ardèche, du Gard et de l'Aveyron. Il dépend de l'académie de Montpellier et de la zone de défense Sud (Corse, Languedoc-Roussillon, Provence-Alpes-Côte d'Azur) dont le siège est à Marseille. Il compte 2 arrondissements, 25 cantons et 185 communes. C'est un département isolé du sud du massif central. Il se trouve toutefois au carrefour des liaisons Lyon/Toulouse (RN88) et Clermont-Ferrand/Montpellier (A75). Ainsi la ville de Mende, préfecture de la Lozère, se situe environ à :

Découpage géographique

La division géographique de la Lozère suit la division géologique. On trouve donc quatre régions naturelles:

     
 

La Margeride

281px_Margeride

 
 

La Margeride

 
 

la Margeride   (superficie: 1 601 km²) : au nord, région granitique fortement   boisée. S'y étendent d'immenses pâturages entrecoupés de bois, de prés, de   landes et de ruisseaux. Les plateaux sont hérissés d'énormes rochers de   granit. Son point culminant est le truc   de Fortunio (

1 552 m

).  

 

     
 


L'Aubrac

281px_Aubrac48

 
 

l'Aubrac   (superficie: 911 km²) : au nord-ouest, plateau basaltique couvert   de rivières et de lacs s'étendant sur le nord de l'Aveyron et le sud du   Cantal. Son point culminant est le signal de Mailhebiau (

1 469 m

).  
 

L'Aubrac

 

 

     
 

Les Cévennes

281px_Cevennes48

 
 

Les cévennes

 
 

les Cévennes   (superficie: 1 497 km²) : au sud-est, chaîne schisteuse   coincée entre le mont Aigoual et le mont   Lozère. C'est une région très accidentée par les cours d'eau étant donnée   la proximité du Rhône qui s'étend sur le nord du Gard et de l'Hérault. Son point culminant est le pic   de Finiels (

1 699 m

).  

 

     
 

Les Causses

281px_Causses48

 
 

les Grands   Causses (superficie: 1 158 km²) : au sud-ouest, vastes   plateaux arides, un peu moins hauts que l'Aubrac, comprenant de nombreux   avens et grottes. La région est coupée en son milieu par les gorges   du Tarn et s'étend sur le sud de l'Aveyron. La population s'y rassemble   autour des rares points d'eau. Le point culminant se trouve à l'est du causse   Méjean au mont Gargo (

1 247 m

).  
 

Les causses

 

La Lozère est aussi le département français présentant l'altitude moyenne de zone habitable la plus élevée de France (environ

1 100 m

).

Hydrographie

Lozere_hydrographie_copie_copie

Le territoire de la Lozère alimente 3 des 6 grands bassins hydrographiques français :

  • le bassin Adour Garonne
  • le bassin Rhône Méditerranée
  • le bassin Loire Bretagne

Hydrographie de la Lozère


Trois importantes rivières prennent naissance en Lozère, également appelée « pays des sources » :

On trouve également des rivières plus modestes :

Occupation du sol

Lozere_occupationdusol_copie_copie

Occupation du sol de la Lozère

La Lozère a une superficie de 5 167 km2, c'est un département très rural et très peu artificialisé (0,54 % du territoire). Ainsi la forêt représente globalement 43,81 % du territoire, les terres arables 12,74 %, les prairies 11,36 %, les landes, pelouses et milieux ouverts, 31,19 %. Quant à la surface en eau, elle est plutôt faible : 0,36 %. Les régions géographiques citées plus haut sont faciles à identifier sur la carte de l'occupation du sol :

  • Aubrac : pelouses et prairies
  • Margeride : le territoire est très      morcelé, c'est un "patchwork" de forêts, pelouses, prairies,      terres arables, villages...
  • La vallée du Lot a une occupation du sol      également très morcelée
  • Cévennes : boisements de feuillus      (essentiellement des châtaigniers) entrecoupés parfois de quelques landes      et boisements de résineux
  • Causses : ils montrent une      alternance entre pelouses sèches, milieux ouverts et boisements résineux      (essentiellement des pins sylvestres)


Boisements :

En Lozère, la forêt s'étend sur 232

300 ha

(environ 45 % de la superficie du département) et se répartit selon :

 

   
 

70 % de conifères :

   
 

30 % de feuillus :

   

Chaque année, cet espace forestier, composé à 80 % de forêts privées, s'étend de

500 ha

supplémentaires.

Climat

Chiffres

  • Températures moyennes : + 1° (janvier)      + 16° (juillet) à Mende
  • Précipitations : de 80 à plus de

    200 cm

    / an (suivant      l'exposition des régions).
  • Ensoleillement annuel à Mende :      2090 heures de soleil (similaire à Toulouse)

Records

L'entrée en Lozère depuis le Gard, par le col Saint-Pierre

Quelques records relevés à Mende depuis 1985[2] :

  • Température la plus basse :

    -20 °C

  • Jour le plus froid : 16      janvier 1985
  • Année la plus froide : 1985
  • Température la plus haute :

    36,6 °C

  • Jour le plus chaud : 16 août      1987
  • Année la plus chaude : 1997
  • Hauteur maximale de pluie en 24h :

    96 mm

  • Jour le plus pluvieux : 4      novembre 1994
  • Année la plus sèche : 1991 (

    377 mm

    )
  • Année la plus pluvieuse : 1996 (

    1025 mm

    )

Flux

La Lozère est soumise à deux flux dominants :

  • un flux océanique pour la partie ouest,      principalement l'Aubrac qui connaît de fortes précipitations.
  • un flux méditerranéen, qui apporte aussi      des précipitations se produisant souvent à l'intersaison et déclenchant ce      qu'on appelle l'épisode cévenol.

Micro-Climats

hauts plateaux d'Aubrac (près du Faltre), 31 décembre 2007

  • Au nord-ouest, les hauts plateaux      d'Aubrac (1000 à

    1467 m

    )      sont subocéaniques humides et froids : perturbations régulières et      particulièrement actives à proximité du département de l'Aveyron.

Moyennes pluviométriques : 129 cm/an à Nasbinals et probablement

180 cm

vers le Signal de Mailhebiau. Températures à Nasbinals (

1200 m

) : -1° en janvier, +13° en juillet. L'enneigement est soumis aux fortes fluctuations océaniques (les chutes abondantes alternent avec les redoux). Le manteau, qui peut atteindre

1,5 mètre

d'épaisseur en forêt, se maintient environ 3 mois par an vers

1200 m

. Il est intensément modelé par le vent sur les plateaux dénudés (congères). Les pâturages d'estive retrouvent en mai une intense verdure, un peu mise à mal ces dernières années par une série de sécheresses (2003-2006).

  • Au nord, les petites montagnes de      Margeride (1000 à

    1551 m

    )      sont subcontinentales et froides. Les perturbations d'origine atlantique      se sont préalablement déchargées sur l'Aubrac, tandis que celles d'origine      méditerranéenne l'ont fait sur les Cévennes. Malgré de fréquents orages de      mai à octobre, la Margeride est donc plutôt séche : cumuls annuels de     

    85 cm

         à Châteauneuf de Randon et St Chély d'Apcher, et pas plus de

    120 cm

    près des      sommets.

En revanche, en lien avec les altitudes élevées, les températures sont basses : à Châteauneuf de Randon (

1250 m

), on relève -2° en janvier et + 13° en juillet. L'enneigement hivernal est à la fois moins fluctuant et moins abondant qu'en Aubrac, car s'il fait un peu plus froid en Margeride, les précipitations - donc les chutes de neige - sont moindres. Environ 3 mois /an de neige au sol vers

1400 m

. Le paysage est assez austère : vastes forêts de pins, hêtres, sapins, alternent avec des hautes croupes à bruyère et plus bas, pâtures et prés de fauche.

  • Au centre et au sud-ouest, les causses,      gorges et vallées d'altitude plus faible (500 à

    1200 m

    ) combinent les      trois influences du département en atténuant les effets de chacune (foehns      marqués). Comme la Margeride, c'est une région relativement séche :      cumuls annuels de

    80 cm

         à Mende,

    100 cm

         au Massegros,

    117 cm

         à Florac.

Les températures à Mende (

800 m

) vont de + 1° en janvier à + 16° en juillet. A l'exception en vallées des sites les plus bas, l'enneigement est fréquent mais pas trop tenace (environ 1 mois/an de neige au sol vers

1000 m

). L'ensoleillement est en forte progression par rapport au nord du département. Les forêts de pin sylvestre et les pâturages d'herbe rase (ovins), composent l'essentiel d'un paysage aux allures déjà méditerranéennes.

  • Au sud-est, la chaîne des Cévennes (500      à

    1700 m

    )      est méditerranéenne et humide, douce à froide selon l'altitude. Les masses      d'air humide qui se forment au-dessus de la mer viennent par flux de      Sud-Est à Sud buter contre le relief cévenol, déclenchant alors les fameux      épisodes plus ou moins diluviens, notamment en automne (pic pluviométrique      d'octobre). Le flux d'ouest océanique, bien qu'atténué, est encore      sensible sur les hauts massifs mais décline rapidement dans les vallées      orientales (foehn). Au total les cumuls annuels sont parmi les plus élevés      de France :

    228 cm

         au Mont Aigoual,

    184 cm

         à Villefort. Cette pluviométrie est cependant très irrégulière, avec une      tendance à la sécheresse estivale. L'ensoleillement des vallées est      excellent.

Compte-tenu des forts dénivelés, les températures sont très variables : - à Villefort (

500 m

) + 2° en janvier, +18° en juillet - au mont Aigoual (

1567 m

) - 3° en janvier, +12° en juillet. L'enneigement, en relation avec le régime pluviométrique, est très irrégulier. C'est dans les Cévennes qu'ont été relevés les cumuls records des dernières décennies pour la moyenne montagne française (3 à

4 mètres

d'épaisseur moyenne, hiver 1980-81). De façon plus générale, l'enneigement persiste au sol environ 1 mois par an vers

900 m

, 3 mois vers

1300 m

et 4 à 5 mois près des sommets. La végétation est étagée : garrigue et maquis typiquement méditerranéens dans les vallées, pins et hêtres en montagne. Les paysages, à la fois luxuriants et déshérités, très sauvages , sont une parfaite illustration d'un climat tantôt lumineux, tantôt tempétueux...

Économie

L'économie de la Lozère repose essentiellement sur le secteur primaire (agriculture), l'exploitaition forestière et sur l'activité touristique (tourisme vert). Le département possède l'un des taux de chômage les plus bas de France (entre 5 et 6%) en raison de l'émigration de ses jeunes vers les villes (Lyon, Marseille, Montpellier) depuis des siècles.

Démographie

Les habitants de la Lozère sont les Lozériens.

Chiffres

                                                                       
 

1881

 
 

1891

 
 

1901

 
 

1911

 
 

1921

 
 

1931

 
 

150 768

 
 

135 527

 
 

128 866

 
 

122 738

 
 

108 822

 
 

101 859

 
 

1936

 
 

1954

 
 

1962

 
 

1968

 
 

1975

 
 

1982

 
 

98 480

 
 

82 391

 
 

81 868

 
 

77 258

 
 

74 825

 
 

74 294

 
 

1990

 
 

1999

 
 

2006

 
 

 

 
 

 

 
 

 

 
 

72 825

 
 

73 509

 
 

76 806

 
 

 

 
 

 

 
 

 

 

Note : de 1881 à 1954 : population totale, de 1962 à 2006 : population sans doubles comptes.

  • Naissances (1990-1999) : 6 439
  • Décès (1990-1999) : 8 100

Brève analyse

La Lozère reste le département le moins peuplé de France. Cependant, si depuis la fin du XIXe siècle le département voyait sa population s'amoindrir à cause du solde migratoire négatif, les quinze dernières années montrent une nouvelle tendance qui est à

la hausse. Les

raisons données à cette tendance sont la qualité du cadre de vie, l'amélioration du réseau de transport routier et de communication et dans une plus faible mesure l'héliotropisme. Il s'agit néanmoins d'une population âgée et à fort pouvoir d'achat.

La faible densité de population (15 hab./km²) s'explique en partie par la pauvreté des sols et par l'exode rural très important entre 1850 et 1910. La population est concentrée dans trois centres urbains principaux : Mende, Saint-Chély-d'Apcher et Marvejols qui groupent à eux trois le tiers de la population du département. Quelques autres petits centres (Langogne, Florac, Aumont-Aubrac, La Canourgue, etc.) font figure de petits bassins de vie mais n'arrivent pas attirer les jeunes, dont l'exode vers les métropoles voisines (Clermont-Ferrand au nord, Montpellier et Nîmes au sud) est de plus en plus important.

A noter le premier rang du département de la Lozère, en 2007, au Diplôme national du brevet.

Culture

Musique, théâtre de rue, découverte, cinéma, la Lozère profite de sa faible population pour devenir une sorte de laboratoire culturel rural mais déterminé... C'est ainsi que, par décennies successives, plusieurs festivals se sont mis en place, avec, pour certains, une importance régionale, voire au-delà. Des associations locales ainsi que les municipalités arrivent de plus à proposer un calendrier de concerts et pièces de théâtre de niveau national.

Cirques et ménageries

Une grande partie des plus grands cirques français du XIXe siècle et du XXe siècle tirent leurs origines dans le département. Ainsi, Jean-Baptiste Pezon (1827 - 1897), originaire de Rimeize quittera la région à l'âge de 17 ans en direction de Paris avec son unique loup. Ce dompteur fondera la « grande Ménagerie lozérienne » à Montreuil-sous-Bois. Son lion inspirera Frédéric Auguste Bartholdi pour son Lion de Belfort[3]. Ses enfants, notamment Adrien, prendront la relève.

De la grande ménagerie lozérienne, on connaît également Marie Bonnefoux. Elle était la sœur du directeur quand Ahmed Ben Amar el Gaid vint lui acheter un loup. Elle l'épousa et c'est avec lui que sera fondé le cirque Amar, dont leur six enfants feront la renommée de ce cirque.

Gastronomie

Les médias en Lozère

Au niveau télévisuel, la Lozère est incluse dans le décrochage régional de France 3 Sud et de l'édition France 3 Languedoc-Roussillon pour les informations locales. Autrement, aucun réseau câblé n'est disponible dans le département, mais la TNT a fait son apparition dès 2006 pour le bassin mendois puis en 2009 pour Marvejols (2 relais), Banassac, Balsièges, Barjac, Le Malzieu-Ville, Le Collet de Dèze mais aussi "Le Truc de Fortunio" qui est Le relais télévisuel le plus important de la Lozère et aussi le plus haut :

1551 mètres

d'altitude.

Quatre radios exclusivement locales sont présentes : Radio Eaux-Vives Lozère (membre du réseau Radios Chrétiennes Francophones), Radio Zéma, Radio Margeride et 48 FM. Mais trois autres radios régionales sont disponibles : France Bleue Gard-Lozère, Radio InterVal, et Radio Totem. Suivant les lieux géographiques, une grande partie des radios nationales sont présentes sur le département.


La presse écrite, quant à elle, est dominée par la Lozère Nouvelle, journal hebdomadaire qui a pris la succession de la Croix de Lozère, et par le quotidien régional Midi libre. Avec un peu plus de 22800 journaux diffusés pour un peu plus de 76 000 habitants,

la Lozère Nouvelle

présente l'un des taux de pénétration les plus importants d'Europe pour la PHR. À noter la présence furtive de l'hebdomadaire, La Gazette de Lozère, au milieu des années 90, mais qui, faute de pouvoir s'imposer, a disparu quelques mois plus tard.

Sport

Tourisme

Des réserves animalières rares en Europe qui passent par la préservation des espèces, aux richesses sur (menhirs, dolmens,...) ou sous (grottes,...) terre, la Lozère offre de nombreuses curiosités...

Communes ayant plus de 10% de résidences secondaires

Selon le recensement général de la population du 8 mars 1999, 34.5 % des logements disponibles dans le département étaient des résidences secondaires.


 

 

0 0 0226

 
 

10,27%

 

Sources :

La Lozère au cinéma

Lozériens célèbres

Notes et références

1.  Recensement de la population en 2006 par l' [archive]Insee

2.  graphique météo France [archive]

3.  (fr) [pdf] plaquette [archive] du musée Bartholdi] à Colmar, page 4

Voir aussi

   
 

Commons-logo.svg

 
 

Wikimedia Commons propose des documents   multimédia libres sur la Lozère.

 

Liens internes

Liens externes

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16 septembre 2009

Ste. Énimie

En cours de rédaction, photos seulement...................
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Avec Florac (2000 hab.), Meyrueis (910 hab.), Le Rozier (190 hab.) et La Malène (170 hab.), Ste Énimie (510 hab.) fait partie des villages entourant le causse Méjean susceptibles d'offrir tous les types d'hébergement.

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Office du Tourisme Gorges du Tarn:

http://www.gorgesdutarn.net/

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Villes de France:

http://villes-de-france.fr/sainte-enimie.html

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Mairie de Ste Énimie:

http://www.sainte-enimie.fr/

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Le village de Ste Énimie, vu depuis la D986 qui conduit au causse et à Meyrueis

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Dans les rues de Ste Énimie
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La carline acaule, commune sur les causses, est utilisée, ici comme ailleurs, pour ses propriétés barométriques (les bractées de la fleur séchée s'ouvrent et se ferment au gré du degré hygrométrique de l'air)

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La citadelle et le pont (détruit et reconstruit plusieurs fois)

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JCP

14 septembre 2009

Les gorges de la Jonte

Les gorges de la Jonte, dont la réputation n’atteint pas celle des gorges du Tarn, semblent de prime abord souffrir un peu de ce statut, si l’on se contente de les parcourir, comme le fait une large majorité des touristes, à bord de son auto. D’autant qu’il n’est guère aisé, et souvent impossible de se garer en bordure de l’étroite route qui les parcourt (D996), en bordure de la Jonte. Mais pour qui décide d’abandonner son véhicule, ne serait-ce que quelques courtes heures au profit d’une paire de chaussures de marche, la tendance s’inverse, car c’est du haut de leurs falaises que les gorges se laissent le mieux appréhender et laissent voir toutes leurs splendeurs :

En partant du Rozier vers Meyrueis (O-E, rive droite) :

- Le roc de Capluc (partagé entre gorges du Tarn et de la Jonte)

- Les vases de Sèvres et de Chine

- Le balcon du vertige

- Le belvédère des vautours

- Le roc St.Gervais

- L’arcade des bergers

- Et rive gauche : les points de vue depuis le sentier qui entoure Dargilan

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On se reportera donc à la rubrique « Randonnée en Lozère », où sont décrits plusieurs parcours vers les hauteurs des gorges, permettant de découvrir ces paysages d’exception.

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JCP

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Le roc St.Gervais
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Vases de Chine (à G.) et vase de Sèvres.
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Peyreleau
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JCP

13 septembre 2009

Le causse Méjean, le causse Noir


Le causse n’est qu’un territoire désolé, où l’on remarque à peine une herbe rase, de rares céréales, des pins ... quelque ferme isolée ... et des cailloux ...Pourtant, pour ceux qui prennent le temps de le parcourir et de s’y arrêter, ce territoire vaut bien plus que cette courte et triste description. Mieux, le causse est un monde tout aussi captivant que d’autres lieux - parfois plus prestigieux - pour qui sait observer, marcher, s’asseoir, et contempler en oubliant le temps. Alors, au fil des errances sans but précis, sans que l’on y prenne garde, doucement, le charme opère. Et le causse reste à jamais figé dans la mémoire du promeneur, fasciné, qui le voit désormais tellement plus séduisant qu’il ne l’aurait imaginé, s’il s’était contenté de le traverser à la vitesse aveugle de son automobile.

Il n’est pas sur le causse de lieu notablement supérieur à un autre, et une seule journée ne suffira pas à sa découverte cependant, les sites suivants valent la peine de s’y consacrer, autant par l’intérêt des sites eux-mêmes, que par le pittoresque des routes tortueuses sillonnant le causse, et qui les desservent :

Pour le causse Méjean :

- La ferme caussenarde à Hyelzas, village typique du causse Méjean, où une ancienne ferme a été restaurée et aménagée pour une attractive visite.

- Le mas St. Chély, pour ses habitations typiques.

- Le chaos de Nîmes le Vieux, autour du Veygalier, par le col de Perjuret, avec un détour par Aures, en direction de l’Aven Armand :

- Les alentours de St. Pierre des Tripiers et de l’Aven Armand.

- Les vertigineuses descentes par les étroites routes qui mènent, depuis le causse, aux Vignes, à la Malène, à Ste. Énime, où l’on ne manquera pas le remarquable point de vue sur le cirque de St. Chély.

- Le belvédère du roc des Hourtous, qui domine le cirque des Baumes, et qui fait face au point sublîme (gorges du Tarn).

- La route du causse vers Florac, et la descente sur la ville (route interdite aux camions et aux camping-cars).

Et pour le causse Noir :

- Autour de Dargilan.

- De Lanuéjols au Rozier

- Chaos de Montpellier le Vieux

- Canyon de la Dourbie

 

Mais, comme on l’aura perçu, la meilleure manière de découvrir le causse, comme pour tout site naturel, est de le parcourir à pied. Trois randonnées décrites au chapitre « Randonnées en Lozère » empruntent une partie assez significative de ses sentiers (chapeau et gourde pleine recommandés en été) :

4 - Le sentier de Fourques

5 - La côte d’Aures

7 - Autour de Dargilan (Causse noir)

Quant aux autres randonnées décrites ici, même si elles concernent plutôt les très pittoresques reliefs des gorges, elles ne s’éloignent guère du causse Méjean et le rejoignent souvent, dans des ascensions parfois dignes de nos montagnes.

 

JCP

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Site causse Méjean:

http://causse-mejean.ifrance.com/

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Site causse Noir:

http://www.vivreaupays.fr/parc/causse_noir.htm

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Sur la route de Meyrueis à Florac, sur le causse Méjean

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Hyelzas, causse Méjean

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La ferme caussenarde d'Hyelzas (visite)

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Causse Méjean

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Causse Méjean

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Au roc des Hourtous

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Troupeau près du chaos de Nîmes le Vieux (Le Veygalier), au petit matin (ce berger  parcourt le causse à moto tout terrain pour rassembler ses troupeaux dispersés)

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Au dessus de Nîmes le Vieux

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Chaos de Nîmes le Vieux

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Quelque part sur le causse noir

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La pierre des trois évêques, sur le causse noir, à la croisée des trois départements (Lozère, Aveyron, Gard)

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La stype pennée, "cheveu d'ange". Sa prolifération représente un fléau pour les éleveurs, les ovins ne le consommant pas. Anecdote: cette plante est une espèce rare et protégée en Franche Comté...

En savoir plus:

http://www.nocueill.fr/pages_bota/stipe_pennee.php

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Sur le causse Noir

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Causse Méjean

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Maison caussenarde typique au Mas St. Chély (causse Méjean)

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Causse Méjean

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Mielgues (causse Méjean)

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Carline acaule

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Les restes de la chapelle de Mielgues (causse Méjean)

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Cheminée caussenarde typique, sur toit de lauzes

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Une ferme sur le causse Méjean

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Causse Méjean

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JCP

12 septembre 2009

Florac

D'une population plus élévée que Meyrueis, Florac (2000 hab., 5° ville de Lozère par sa population), dispose d'un important potentiel touristique. Cette attrayante ville, qui dispose de toutes les structures permettant d'assurer le plus agréable des séjours, est cependant quelque peu handicapée par un réseau routier sud difficile, l'éloignant de certains sites touristiques, malgré leur relative proximité. Proche notamment du causse Méjean, des gorges du Tarn, des Cévennes, du mont Lozère, de Mende et de Marvejols, sa situation la prédestine plutôt au tourisme dans la partie nord du département. Éloignée des grands centres urbains, Florac a su vivre sans eux, en proposant les services d'une grande ville: de nombreux commerces, d'importantes manifestations, telles que foires, fêtes, concerts, font le charme de cette ville animée qui a disposé de vastes parkings sur ses extérieurs, afin de faire face aux journées d'affluence, les jours de marché notamment. Mais le charme de cette cité de caractère ne s'arrête pas là, les cafetiers nous attendent, et les restaurateurs ont mis le couvert sur la place, à l'ombre des platanes séculaires. Asseyons nous donc, et laissons nous servir la truite, l'aligot, ou le ragout à la chataigne, accompagnés peut-être d'un costières de Nîmes ? Et qui sait, peut-être irons-nous après le repas à quelque concert, au temple, situé à deux pas... A moins que nous ne préférions nous rendre sur la place supérieure manger quelques crêpes accompagnées de cidre, pour danser peut-être ensuite sur ce pavé qui a vu tant de souliers, au son de quelque orchestre local ?

Mais Florac, c'est aussi la ville des eaux: de toutes parts des ruisseaux domestiqués peuplés de truites, et provenant de la source du Pêcher (à voir) la traversent, pour lui offrir ce cachet tellement original, parmi réservoirs, cascades et ponts de pierre.

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Office du Tourisme:

http://www.mescevennes.com/

Site de la commune:

http://www.ville-florac.fr/index.aspx


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JCP
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Florac, vu depuis l'un des remarquables points de vue offerts par la D16, qui monte, en lacets serrés, à l'assaut du causse Méjean (à ne pas manquer).

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Florac, la ville des eaux (ici le restaurant "La Source du Pêcher")

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Bon, c'est cramé ...

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La place supérieure

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Ne vous y trompez pas, c'est du trompe l'oeil...

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A gauche, noyé dans l'ombre: l'égorgeur des Cévennes !

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                   Ne t’en déplaise Apollinaire,

                   Coule la Seine sous le pont Mirabeau ;

                   Cette eau vive et ces quelques pierres

                   Charment mon cœur d’un décor tout aussi beau.

                   (JCP)

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Sur le causse

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JCP

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11 septembre 2009

Près de Millau: caves de Roquefort, Micropolis, pont-viaduc de Millau

Autour de Millau, trois centres d'intérêt attirent chaque année un nombre considérable de touristes:

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1 - Les caves de Roquefort
Cette intéressante visite vous permettra enfin de percer le secret des fameuses fleurines, orifices semi-naturels d'aération sans lesquelles le fromage de Roquefort ne serait pas ce qu'il est!
La visite, comme aux établissements Société, commence par une projection vidéo commentée, et s'achève sur une dégustation.

Le site Société:

http://www.aveyron.com/tourisme/Regions/roquefor_visite.html

Le site Papillon:

http://www.roquefort-papillon.com/fr/index.php.
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2 - Micropolis:

Micropolis est un insectarium de très grand intérêt, riche d'un nombre considérable d'insectes vivants tous dans un environnement proche de leur habitat naturel. De vastes colonies des insectes les plus représentatifs sont en permanence observables sur écrans vidéo, par l'intermédiaire de micro-caméras de type endoscope. Des projections permanentes de films réalisés par d'éminents entomologistes permettent à tous de mieux connaître ce monde toujours surprenant, sinon effrayant.

Le site Micropolis:

http://www.micropolis.biz/
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3 - Le pont-viaduc de Millau:
Tout le pays a suivi cette audacieuse réalisation, diversement appréciée. Pour se faire une idée, rien ne remplace la visite, ceci a été compris par les agences de voyages, et par les Millavois, qui désormais exploitent le phénomène de façon lucrative. Mais, au delà de toute polémique, il faut bien reconnaître "qu'il faut avoir vu le pont-viaduc de Millau !".
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Sites:

http://www.viaducdemillau.com/gallery/

http://www.leviaducdemillau.com/

http://www.recoin.fr/tourisme/viaduc+de+millau.htm
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JCP
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  Quelques images:

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Les deux autres ponts de Millau

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Souhaitons plus longue vie au nouveau pont...

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JCP

11 septembre 2009

Les arcs de St.Pierre

Cette trop brève randonnée de moins de 2 heures, sans difficulté technique, figure parmi les plus intéressantes de cette région, où l'érosion de la dolomie a laissé des formes surprenantes. Plusieurs arches, d'apparence et de taille différentes, des roches érigées où la nature a sculpté des formes comme le rocher de la poule, émergeant des pins, émaillent ce parcours sur lequel on aura plaisir à flâner. Les restes du village semi-troglodyte des résiniers rappellent qu'ici on exploitait la résine de pin, jusqu'à la fin du 19° siècle, indispensable pour le calfatage des bateaux de bois. Sur le site de la Viale, des restes de fours, utilisés dans ce but, ont été mis à jour.
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Le départ de cette balade se fait sur le parking situé à un carrefour, non loin de St.Pierre des Tripiers, et emprunte le GR6, qui descend parmi les pins sylvestres, au fond d'un vallon très ombragé. Le parcours bien balisé mène en moins d'une demi-heure à un embranchement dont il convient d'emprunter tour à tour les deux directions:

- A gauche, le chemin monte en crête, où l'on apercevra le rocher de la "poule de Houdan", puis descend jusqu'aux deux plus grandes arches, en passant par la grotte de l'homme mort et l'esplanade du village des résiniers, où l'on remarquera les vestiges d'habitations semi-troglodytes, sous la forme de murailles de pierre sèche adossées au rocher.

- A droite,on atteint la "grand place", avec son pilier rocheux central, la grotte de la Baumelle, et de nouvelles arches, de diverses tailles.

Le retour se fait par le même chemin.

JCP

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"Gorges du Tarn, de la Jonte, Causses" de "Chamina", 25 randonnées avec cartes et descriptifs, achat recommandé.

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Les deux grandes arches

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La grand place et son pilier (lithophallus?)

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A droite: la poule de Houdan

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Une habitation saisonnière de résinier, utilisée jusqu'à la fin du 19° siècle.

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Emblème caussenard (tellement plus beau que ces tristes croix...)

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Les auteurs de ce blog déclinent toute responsabilité quant aux éventuels accidents survenus avant, pendant et après la lecture de ce récit ...


JCP

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11 septembre 2009

Meyrueis

Cette petite cité de caractère de 910 habitants, où il fait bon vivre, est le lieu de séjour idéal pour la visite des sites décrits ici. Forte d'une tradition d'accueil touristique ancienne, elle offre tous les types d'hébergements et de restauration souhaités. En outre, de nombreuses manifestations estivales y attirent une importante fréquentation, emplissant les bars, dont les terrasses vont débordant à l’heure de la soif.

 

A la mi-journée comme à la nuit, sur l’antique pavé, sous les platanes, sur les ponts, près de la piscine, le couvert est servi et n’attend plus que les appétits. Et c’est alors que, sous les lampions d’éternelle fête, dans la douceur de la nuit, la truite, l’agneau des Cévennes ou l’aligot dans l’assiette et le petit rosé de Nîmes dans le verre, dans le murmure du Béthuzon qui se faufile entre les herbes, le temps s’arrête à Meyrueis. Et c’est surpris de l’heure, déjà tardive, que l’on consent enfin à obéir à la saine fatigue de la journée, pour une nuit habitée des heureux projets du lendemain, dans l’oubli des obligations de la vie de tous les jours.

Étymologie occitane de Meyrueis: Mey rueis, au milieu des ruisseaux.

JCP

 

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Le site de l'office du tourisme:

http://www.meyrueis-office-tourisme.com/
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Meyrueis, le Pays des 3 Rivières et des 8 Ponts:

http://fontdayres.over-blog.com/

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Pays de Meyrueis:

http://www.causses-cevennes.com/tourisme/information/Meyrueis2.htm

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Quelques images de la ville, sans ordre précis :

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La ville basse, au bord de la Jonte

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Fontaine

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Le temple

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L'été, dans son doux clapot, le Béthuzon se jette dans la Jonte...

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                "Ô temps! suspends ton vol, et vous, heures propices!

                                       Suspendez votre cours:

                     Laissez-nous savourer les rapides délices

                                       Des plus beaux de nos jours!"

Alphonse de Lamartine

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Repas sur la pelouse de la piscine de l'hôtel-restaurant "Le Family"

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Façade de l'hôtel "Le Family"

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Tout près de Meyrueis: le château de Roquedols (16° siècle)

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JCP

11 septembre 2009

Les grottes

Cette région aux sol calcaire recèle de nombreuses cavités, trois d'entre elles font l'objet de très intéressantes visites:
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- Dargilan, la grotte rose (site classé ***):
http://grotte-dargilan.com/

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- L'Aven Armand (site classé ***):

http://www.aven-armand.com/index2fr.html

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- L'abîme de Bramabiau (site classé ***):

http://www.abime-de-bramabiau.com/
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JCP

10 septembre 2009

Les gorges du Tarn

Un simple aperçu des gorges du Tarn nécessite au moins une journée entière, ceci pour une première approche seulement, tant elles recèlent de trésors cachés. Les jours d'affluence, l'étroite route qui les dessert peut se trouver engorgée, visite en semaine ou basse saison conseillée.
Les gorges sont ponctuées, en partant du nord depuis Florac (les deux sens de parcours ont leur charme) par: Ispagnac, Montbrun, Charbonnières (château), Castelbouc (ruines château), Ste Énimie,  St. Chély, Château de La Caze (hôtel restaurant de luxe), Hauterive, La Malène, Pas de Souci, Les Vignes, le point sublime, Le Rozier.

 

Le canotage, activité ancienne et très prisée dans les gorges, se pratique depuis Castelbouc, Ste Énimie, la Malène ou Les Vignes, de deux façons: descente en barque avec guide, comme à la Malène, ou location simple de canoës sur un parcours donné.

 

JCP

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Site consacré à la location de canoës:

http://www.gorgesdutarn.net/-Location-de-canoes-

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Le château de Charbonnières

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Castelbouc
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Ste Énimie

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Le village de Ste Énimie

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st. Chély du Tarn, vu du roc des Hourtous

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St.Chély

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Chapelle semi-troglodyte à St. Chély du Tarn

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St.Chély

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St.Chély

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Château de La Caze (hôtel-restaurant de luxe)

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Hauterive

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A la Malène: le château Montesquiou, hôtel-restaurant

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La Malène

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La Malène

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La Malène

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Le pas de Souci, vu du belvédère

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Vue partielle depuis le point Sublime

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Peyreleau

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Les ruines du vieux pont du Rozier

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HÉBERGEMENT, TOURISME:

Lieu de séjour rando/tourisme idéal: MEYRUEIS (Lozère)

Une bonne adresse: l'hôtel-restaurant "Le Family" (**, piscine et parking privé)

SITE:   http://www.hotel-family.com/

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OFFICE DU TOURISME MEYRUEIS:  http://www.meyrueis-office-tourisme.com/

DARGILAN, LA GROTTE ROSE:  http://www.grotte-dargilan.com/

L'AVEN ARMAND:  http://www.aven-armand.com/

L'ABÎME DE BRAMABIAU:  http://www.mescevennes.com/visiter/bramabiau.php

GORGES DU TARN:  http://www.ot-gorgesdutarn.com/

CAUSSES, MONT AIGOUAL, CÉVENNES:  http://www.causses-aigoual-cevennes.org/

LE GUIDE DE LA LOZÈRE:  http://www.lozere-online.com/

MONT AIGOUAL:  http://www.aigoual.asso.fr/

CÉVENNES TOURISME:  http://www.cevennes-tourisme.fr/fr/index.aspx

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JCP

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Tourisme et Randonnée en Lozère
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